Au moment où les manuscrits sont convertis chaque jour en livres et que le fonds d’aide à l’édition continue de décaisser des sous, l’on se demande encore s’il y a une vraie vie littéraire au Sénégal. Le Témoin ouvre des pistes pour une relance des prix littéraires [au Sénégal]…
Initié par le deuxième président de la République du Sénégal, Abdou Diouf, après le retrait du poète-président Léopold Sédar Senghor du pouvoir, le Grand prix du chef de l’État pour les Lettres et les Arts avait permis à une belle brochette de talents de percer sur la scène nationale et internationale. Accusé au départ de faire pour la Culture moins que son prédécesseur, Abdou Diouf avait lancé un certain nombre de projets après le déclin de quelques fleurons créés par Senghor comme les Neas (Nouvelles éditions africaines du Sénégal), la manufacture des arts décoratifs de Thiès, Mudra Afrique ou le musée dynamique toujours squatté par la Justice sénégalaise (…)
[Lire l’intégralité de l’article d’Alassane Seck Guèye publié dans Le Témoin]
[Ce billet est également publié sur le portail de la revue Africultures]