Mot du président de l’Association des éditeurs ivoiriens (Assedi)

Mot du président de l’Association des éditeurs ivoiriens (Assedi), Anges Félix N’Dakpri, prononcé à l’occasion des rencontres des éditeurs et libraires francophones à Abidjan les 12 et 13 novembre 2012…

Après une décennie de crises, 2012 marque un renouveau pour notre pays. Et c’est parce que le livre tient une place fondamentale dans la construction de ce renouveau que le ministre de la Culture et de la Francophonie, M. Maurice Bandaman, a déclaré 2012, année du livre. Sous son impulsion :

2012 a vu la première participation de la Côte d’Ivoire au Salon du livre de Paris. 2012 a vu la participation de la Côte d’Ivoire, en tant qu’invité d’honneur, au Salon du livre de Genève. 2012 voit la question des droits liés à la reprographie trouver une solution grâce à l’action du BURIDA (Bureau ivoirien des droits d’auteurs). 2012 verra revivre le Salon du livre d’Abidjan après 8 années de sommeil. L’année du livre touche à sa fin et quelle meilleure façon de la terminer que d’être réunis tous ensemble, 2 semaine avant le SILA, afin de faire le point de la situation dans nos différents pays et de parler des perspectives d’avenir, des possibilités de travailler ensemble pour satisfaire au mieux les attentes et besoins des lecteurs ?

En ce qui concerne la situation du livre en Côte d’Ivoire, l’absence de données chiffrées ne facilite pas l’analyse (Tous les professionnels en Afrique subsaharienne francophone font face à ce problème). J’en profite pour plaider auprès du ministre de la Culture et de la Francophonie à ce sujet.

L’année du livre s’achève peut-être le 31 décembre 2012, mais nous espérons que les initiatives en faveur du renforcement et du développement du livre, elles, se poursuivront avec particulièrement la création d’un Conseil national du livre chargé de recueillir les données du secteur, de coordonner des études permettant de mieux appréhender les évolutions auxquelles nous devons faire face…

[Lire l’intégralité de l’article d’Anges Félix N’Dakpri publié sur le site Web de l’AILF]

[Ce billet est également publié sur le portail de la revue Africultures]

 

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