La bande dessinée algérienne, doyenne du 9ème art africain et arabe, a eu un passé prestigieux quoique trouble, s’accordent à dire des bédéistes, toutes générations confondues, qui affichent cependant un optimisme mesuré sur l’avenir de cet art en Algérie.
Comme tout art, la BD a connu un retard attribuable à plusieurs facteurs : la décennie tragique du terrorisme, le nombre réduit d’éditeurs spécialisés et le « scepticisme » des éditeurs généralistes, à en croire certains bédéistes interrogés lors du 5ème Festival international de la bande dessinée d’Alger (Fibda) (…)
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