Ce mois-ci dans la revue de presse EditAfrica : Africultures, Algérie, bande dessinée, bibliodiversité, Cameroun, coédition, Congo belge, diffusion, écrivain francophone, éditeurs indépendants, Festival 3v, FIBDA, francophonie, Karthala, livre numérique, monde arabe, outre-mer, prix ivoire, RDC, Zimbabwean International Book Fair…
30/09/2011 : des éditions CLE à l’édition en Afrique
Choses dites en marge du stand « esprit Panaf » du SILA : Marcellin Vounda Etoa répondait aux questions de Wafia Sifouane : émergence de l’édition africaine, problème de la chaine du livre, auto-édition, diffusion, intervention de l’état, promotion et coédition… autant de points abordés par le directeur des éditions CLE de Yaoundé, ou quand le responsable d’une des principales et premières maisons d’édition africaines donne son avis sur le monde du livre africain contemporain.
Un entretien réalisé par Wafia Sifouane, pour le quotidien La Tribune (Algérie).
30/09/2011 : paroles malgaches sur la bibliodiversité
Le 21 septembre 2011, la journée internationale de la bibliodiversité était célébrée pour la première fois à Madagascar à l’initiative de Marie-Michèle Razafintsalama. L’éditrice et présidente de l’association Afrilivres revient sur l’évènement : « La journée internationale de la bibliodiversité est célébrée dans le réseau hispanophone depuis 2010. Cette année, elle est célébrée par tous les réseaux linguistiques de l’Alliance. Madagascar a participé modestement à cette journée en lançant l’action le Lâcher du livre ».
Un article de Domoina Ratsara pour L’Express de Madagascar (Madagascar), disponible sur la base de données Afrique en ligne.
29/09/2011 : un réseau de CLAC en RDC
Le premier réseau de 9 Centres de Lecture et d’Animation Culturelle (CLAC) a été inauguré le 17 septembre dernier en République Démocratique du Congo dans les villes de Bandundu, Bukavu, Lubumbashi, Mbandaka, Matadi, Béni, Butembo, Kindu et Kalima (chefs lieux de leurs provinces respectives).
Le programme des CLAC de l’Organisation Internationale de la Francophone vise, depuis 25 ans, à implanter des centres « dans les zones rurales et périurbaines », afin « d’accroître l’accès des populations aux livres, publications et ressources numériques ». Le programme devrait s’étende à 14 localités d’ici à 2013, afin de couvrir toutes les provinces du territoire congolais.
Les CLAC seront fournis en livres par des « Bibliomalles », un principe qui alimente une soixantaine d’établissements scolaires de RDC, à l’initiative de l’OIF et du Centre Wallonie-Bruxelles de Kinshasa depuis un dizaine d’années. À raison de 120 livres par malle, ce principe a permis un grand accroissement des fonds disponibles, plus de 50 000 livres ont ainsi été empruntés en 2010.
Un communiqué de presse d’Éric Weber, disponible sur le site Internet Africultures.
29/09/2011 : une base de données consacrée aux opérateurs culturels maliens
Une extension de la base de données Sudplanète vient de voir le jour : la plate forme culturesmali.net a été inauguré ce mois de septembre et est désormais en ligne et accessibles à tous.
Issu d’une collaboration entre le PADESC (Programme d’Appui au Développement Économique, Social et Culturel) et la revue culturelle Africultures (initiatrice de Sudplanète), Culturesmali recense, entre autres, un millier de structures maliennes, un millier d’artistes et autres groupes et compagnies, ainsi qu’une trentaine de festivals, des films, des livres produits au Mali.
Le projet qui donne une nouvelle visibilité à la vie culturelle malienne, devrait bientôt connaitre des extensions, avec la mise en place de « services de mise en réseau et d’outils de visibilité (kits de sites internet, envoi groupé de courriels d’information, etc) […] qui permettront aux artistes et structures culturelles de mieux gérer leur communication ».
La machine Africultures investit avec force le Web culturel africain, puisque le principe de Culturemali rejoint le projet Kamercultures déjà en ligne, et devrait bientôt être étendu à d’autres pays, notamment au Burkina Faso, dont le portail Burkinacultures ouvrira ses portes début octobre.
Une analyse de l’équipe Africultures.
28/09/2011 : une B.D. congolaise solidaire en librairie
Dans le cadre d’un projet social, le Forum d’Action Modernités, en partenariat avec l’African Artists for Development (AAD) et l’association congolaise SOS SIDA, viennent d’annoncer la sortie de la bande dessinée solidaire Les Diamants de Kamituga en librairie. Les Diamants de Kamituga a pour objectif d’être « un outil pédagogique d’apprentissage de la lecture et un outil d’information et de prévention contre le sida, tout en respectant les principes du thriller : aventure, suspens, humour et amour ». La bande dessinée sera diffusée à quelques 100 000 exemplaires dans l’Est de la République démocratique du Congo, pour un prix de 8 euros. L’intégralité des bénéfices de la vente seront reversés à SOS Sida pour soutenir ses activités.
Une article d’Ecolopop, pour la revue en ligne Ecolopop.info.
28/09/2011 : la nécessaire indépendance de l’éditeur africain
Choses dites et entendues au stand « esprit panaf » du Salon International du Livre d’Alger : samedi (ndlr : 24/09/2011) Edmond VII Mballa Elanga, directeur des éditions Tropiques à Yaoundé, était invité pour un exposé portant sur « la littérature d’Afrique noire francophone ». La conférence de M. Mballa Elanga s’est, en fait, tout autant portée sur la mission de l’éditeur et la nécessité d’aller « chercher les lecteurs », par exemple à travers l’animation d’ateliers dans les écoles. Créer un besoin, c’est aussi « s’intéresser aux jeunes talents du continent » et « élargir leur marché et leur réseau de diffusion ». Le directeur des éditions Tropiques soulignera aussi la primauté de la créativité sur la dépendance budgétaire : « Un éditeur se doit d’abord d’être un acteur indépendant. Les subventions peuvent s’arrêter d’un jour à l’autre, sans oublier qu’elles peuvent conduire à l’autocensure ; c’est un véritable cercle vicieux dont on a du mal à sortir ».
Un article de Wafia Sifouane, pour le quotidien La Tribune (Algérie).
26/08/2011 : du retour des écrivains africains chez des éditeurs africains
Les maisons d’édition constantinoises Sedia et Média plus rééditent l’écrivain algérien Yasmina Khadra à l’occasion du SILA : Média plus édite L’équation africaine, un mois après sa sortie en France (en août dernier chez Julliard) ; Sedia publie pour sa part L’écrivain (ndlr : également paru chez Julliard en 2001). Cette actualité éditoriale semble faire écho aux propos que Yasmina Khadra tenait au Centre culturel algérien de Paris, en janvier 2011 : « Il faut impérativement que notre pays s’ouvre à travers des initiatives heureuses, et qu’il apprenne à s’émerveiller et à émerveiller les autres […] essayer par tous les moyens de rendre ce pays fréquentable et prouver qu’il recèle un monde très intéressant, et une mentalité et une culture qui pourraient servir à enrichir la culture des autres ».
Un article de Yasmine Ben, pour le quotidien Le Maghreb (Algérie).
25/09/2011 : coéditer pour mieux diffuser la littérature africaine
Rachida Moncef, qui animait vendredi (ndlr : 23/09/2011) la rencontre « L’Afrique aux éditions algériennes », donnait la parole à Marcellin Vounda Etoa (directeur des Éditions CLE de Yaoundé). Au cours de son intervention, M. Vounda Etoa soulignera plusieurs points tels que la difficulté de diffuser des auteurs africains en Afrique et vers d’autres continents, la problématique du rachat des droits d’auteurs « véritable parcours du combattant lorsque les auteurs africains sont publiés à l’étranger », le renforcement d’un réseau de diffusion et de publication au niveau continental afin de « donner la parole aux africains pour qu’ils s’expriment eux-mêmes. Les faire parler sur leur vécu, leurs valeurs, leurs réalités, afin de briser les amalgames et les confusions qui ont duré pendant des années ; d’autant plus qu’aujourd’hui, il y a de moins en moins de possibilités de publier en France […] c’est ainsi que nous avons pu publier des auteurs qui sont devenus ensuite célèbres en France, à l’instar d’Henri Lopez ou de Bernard Dadier ».
Un article de Sihem Ammour, pour le quotidien La Tribune (Algérie).
25/09/2011 : les « Lettres d’un continent » ou comment faire de l’Algérie une plaque tournante de l’édition africaine
Choses dites et entendues au stand « esprit panaf » du Salon International du Livre d’Alger : vendredi (ndlr : 23/09/2011), des écrivains, universitaires et éditeurs étaient rassemblés lors d’une table ronde « l’Afrique aux éditions algérienne » pour débattre et émettre des prospectives. Le responsable d’« esprit panaf », Nariman Saâdouni présentait la rencontre : « Il s’agira de rassembler des invités pour prouver que l’Algérie devrait être, – elle l’est un peu mais elle devrait l’être davantage -, la plaque tournante des éditions du continent. La politique de la littérature, qui devrait en sortir en synthèse, serait de dire qu’on en a marre que nos éditeurs africains éditent ailleurs, au-delà des frontières et qu’ils soient mis dans des moules tenus un peu au chantage. Pourquoi pas l’Algérie ? Et la plupart des éditeurs sont d’accord pour cette idée géniale qui pourrait peut-être induire à l’installation d’antennes à nos éditeurs qu’ils soient privé ou nationaux, ils pourraient avoir des antennes ou représentants dans les pays du continent pour se rapprocher des auteurs ».
Un article d’O. Hind pour le quotidien L’Expression (Algérie).
24/09/2011 : une étude sur l’édition numérique dans les pays en développement
L’Alliance Internationale des Éditeurs Indépendants et la Fondation Prince Claus ont récemment publié une étude confiée à Octavio Kulesz : « L’édition numérique dans les pays en développement ». Ce très riche travail, fort de 167 pages, aborde notamment les questions des maisons d’édition numériques, de la lecture et de l’écriture en ligne, de l’édition traditionnelle face au numérique. Les pages 42 à 59 sont consacrées à l’Afrique subsaharienne.
Un des grands intérêts de l’étude d’Octavio Kulesz, c’est justement de formuler des propositions « à destination des éditeurs indépendants », ceci pour mettre en avant les enjeux que représentent les technologies de l’information et de la communication pour les pays en développement « à condition que les entrepreneurs locaux cherchent des modèles originaux, adaptés aux besoins concrets de leurs communautés ».
Une étude d’Octavio Kulesz disponible sur le site laboratoire de l’Alliance Internationale des Éditeurs Indépendants.
23/09/2011 : « lectures d’Afrique(s) », un catalogue collectif d’éditeurs africains indépendants
281 contes, documentaires, albums et romans composent « lectures d’Afrique(s) », catalogue publié par l’Alliance Internationale des Éditeurs Indépendants avec le soutien de la Région Ile-de-France. Écrits en anglais, arabe, français, malgache, portugais, amazighe, bambara, kinyarwanda et kiswahili, les textes sont issus de neuf maisons d’édition indépendantes d’Afrique (Afrique du Sud, Bénin, Madagascar, Mali, Maroc, République de Guinée, Rwanda, Tunisie) et du Brésil.
Un catalogue disponible sur le site Internet de l’Alliance Internationale des Éditeurs Indépendants.
21/09/2011 : une librairie outre-mer et francophone s’implante dans le quartier latin de Paris
La librairie Orphie vient d’ouvrir ses portes. À l’initiative des éditions réunionnaises éponymes, la librairie met en vente quelques 10 000 références consacrées à trois axes thématiques : l’outre-mer, la francophonie et le voyage. Outre la vente de livres, la librairie accueillera chaque mois des artistes, écrivains et conteurs à l’occasion de conférences, dédicace et expositions. Si cette nouvelle vitrine du livre a tout d’abord pour vocation de « favoriser la diffusion des livres de tous les éditeurs réunionnais dans l’hexagone », il reste à savoir si les éditeurs africains auront, eux aussi, droit de cité dans les rayonnages…
Un article du Réunionnais du monde (la Réunion).
21/09/2011 : le cinquième festival international de poésie 3v à Douala
Déjà cinq années que se tient le festival international de poésie 3v (pour Voir-Verber-
http://www.festival3v.org : le site Internet du festival 3v.
20/09/2011 : le Salon International du Livre d’Alger (SILA), « une opportunité pour l’expression et l’échange d’idées »
Le commissaire du SILA, Smaïn Amziane revient dans un entretien avec le quotidien El Moudjahid sur les objectifs du salon et le quotidien L’Expression nous donne les détails de l’organisation de ce seizième salon du livre d’Alger, qui se déroulera du 21 septembre au 1er octobre. Le Liban est invité d’honneur pour une édition intitulée « Le livre délivre » organisée au complexe olympique Mohamed Boudiaf où 521 éditeurs (145 algériens et 376 étrangers) présenteront leurs ouvrages sur quelques 400 stands. En marge du salon, se tiendra un colloque (le 27 septembre) : « Le monde arabe en ébullition : révoltes ou révolutions ». Un pavillon « Lettres du continent » mettra en avant la volonté du salon de créer un pont entre le Maghreb et l’Afrique subsaharienne « l’Algérie se veut africaine, cassant ce préjugé de deux Afriques, une blanche et une noire. La XVIe édition du Sila inscrit clairement cette orientation Sud-Sud afin de valoriser la parole et l’écrit africains ».
Un entretien réalisé par la rédaction culturelle du quotidien El Moudjahid et un article d’O. Hind pour le quotidien L’Expression (Algérie).
19/09/2011 : « Livres de la RDC », à propos de la production éditoriale congolaise
Depuis octobre 2010, Jean-Pierre Manuana-Nseka anime le très sérieux « Livres de la RDC », « blog qui a pour vocation de faire connaître la production éditoriale locale et étrangère sur la République Démocratique du Congo. Elle vise la valorisation et le regroupement de la production éditoriale sur la République Démocratique éparpillée dans plusieurs sources. Il se veut également un outil pédagogique de promotion et de vulgarisation de l’information scientifique et technique ».
http://livres-rdc.blogspot.com : un blog qui ouvre une fenêtre sur le livre congolais.
15/09/2011 : un siècle de bande dessinée africaine
Christophe Cassiau-Haurie se distingue depuis plusieurs années comme un des très rares spécialistes de la bande dessinée africaine. Il signe ici un article consacré aux productions africaines, remontant jusqu’à 1920 et les premières planches publiées dans des journaux coloniaux du Congo belge. Ce panorama historique très riche et documenté, met en lumière des productions hélas encore peu connues, mais dont la médiatisation croissante témoigne d’une activité ininterrompue (mentionnons les récents dossiers développés par Africultures, Takam Tikou ou encore un chapitre entier du dictionnaire mondial 2010 de la bande dessinée de Larousse, consacré à la bande dessinée africaine).
Un article de Christophe Cassiau-Haurie, pour la revue Africultures.
14/09/2011 : portes ouvertes aux bédéistes de tous horizons durant le 4ème FIBDA d’Alger du 3 au 8 octobre 2011
Fort d’un succès croissant depuis sa première édition en 2008, le Festival International de la Bande Dessinée d’Alger (FIBDA) connait se quatrième édition du 3 au 8 octobre prochains. Le festival sera l’occasion de mettre en avant le caractère universel de la bande dessinée « outil pédagogique destiné à toutes les tranches d’âge ». 13 expositions, dédicaces, projections de documentaires et de films d’animation seront au programme, pour un rendez-vous du livre clairement international : Arménie, Brésil, Cuba, Serbie, Canada, Tunisie, Maroc, Liban, Égypte, Syrie, France, Belgique seront autant de pays représentés par leurs auteurs.
On prendra date de deux ateliers en particulier : « L’édition, comment ça marche ? » animé par Reynold Leclercq, Thierry Bellefroid et Benoît Peeters et « Le rôle de la BD dans l’avènement de la paix et de la réconciliation en Afrique », animé par Hilaire Mbiye.
Un article d’O. Hind pour le quotidien L’Expression (Algérie).
13/09/2011 : le 21 septembre 2011 c’est la seconde journée internationale de la bibliodiversité
Rencontres littéraires, animations en partenariat avec des librairies indépendantes, débats et conférences dans des parcs avec des auteurs ou encore opération « libérez le livres » seront de coutume le 21 septembre prochain en Espagne, à Madagascar, en Turquie, en Inde, en Australie, en Afrique du Sud, en France et dans plusieurs pays d’Amérique latine.
Un article de Domoina Ratsara pour L’Express de Madagascar (Madagascar).
26/08/2011 : les trente ans de Karthala
Robert Ageneau (fondateur des éditions Karthala), qui s’apprête à passer le flambeau de la direction de la maison, revient sur trente années d’une singulière aventure éditoriale.
Une interview et un article de Tirthankar Chanda pour l’agence de presse de RFI, MFI.
24 /08/2011 : les finalistes du Prix Ivoire 2011
Présidé par Michel Koffi, secondé par Werewere Liking et Foua Ernest de Saint Sauveur, le jury chargé de sélectionner les ouvrages finalistes du « Prix Ivoire pour la Littérature Africaine d’Expression Francophone 2011 ». Le jury final présidé par Michel Koffi rendra sa délibération le 5 novembre 2011 à Abidjan.
Les cinq ouvrages sélectionnés :
Takia Nafissatou Fall, Comme un ciel d’hivernage, un roman aux éditions L’Harmattan.
Frédéric Grah Mel, Félix Houphouët-Boigny, Biographie, tome 2, L’épreuve du pouvoir et tome 3, La fin et la suite, une biographie éditions du Cerap aux éditions Karthala.
Georges Holassey, Gorée, les esclaves y pleurent encore, un recueil de nouvelles aux éditions Le Mono.
Gaston Ouassenan, Pauvre petite orpheline ; la voix d’une mère dans l’au-delà, un roman aux éditions L’Harmattan.
Fantah Toure, Des nouvelles du sud, un recueil de nouvelles aux éditions L’Harmattan.
Un article de l’association Akwaba Culture pour Abidjan.net (Côte d’Ivoire).
11/08/2011 : aider les éditeurs africains à développer des contenus mobiles
A l’occasion de l’édition de l’ouvrage numérique Mobile Media Services At Sub-Saharan African Newspapers: A Guide To Implementing Mobile News And Mobile Business, la World Association of Newspapers and News Publishers (WAN-IFRA) et l’African Media Initiative (AMI), mettent en lumière un nouvel outil, et de très importants enjeux pour les éditeurs africains.
Un article de l’Agence Ecofin pour Ecofin Media.
25/07/2011 : la plus grande foire du livre africain à Harare
Tenue depuis 1983 au Zimbabwe, l’édition 2011 de la ZIBF (pour « Zimbabwean International Book Fair ») s’est tenue du 25 au 30 juillet 2011 à Harare avec pour thème « Books for Africa’s Development ».
Durant l’évènement, une centaine d’éditeurs (anglophones) ont présenté une sélection de leurs dernières publications. Des firmes internationales étaient représentées par Oxford University Press, Weaver Press, British Council et Longman Publishers, aux côtés d’éditeurs locaux tels que Mambo Press, College Press, Zimbabwe Women Writers, Legal Resources Foundation, Zimbabwe Publishing House, and Zimbabwe Open University. Dans le cadre de la foire, une table ronde s’est tenue les 25 et 26 juillet, réunissant des écrivains, qui ont pu soumettre leurs idées pour favoriser et développer l’édition littéraire et artistique.
Un article de K. Masimba Biriwasha, pour iZiviso.com (Zimbabwe).
26/04/2011 : à propos du positionnement des écrivains francophones dans le champ littéraire contemporain
Boniface Mongo-Mboussa, Alain Mabanckou et Léonora Miano étaient invités à discuter du positionnement des écrivains dans le champ littéraire francophone lors d’une table ronde animée par Romuald Fonkoua, dans le cadre du colloque « Littératures noires » organisé au Musée du Quai Branly les 29 et 30 janvier 2010.
Une discussion et un débat avec le public disponible sur le portail revues.org.
04/02/2011 : la première revue consacrée à la bibliodiversité
Coproduite par l’Alliance Internationale des Éditeurs Indépendants et la société Double ponctuation, Bibliodiversity – publishing and globalisation a pour objectif de « contribuer à la recherche, à l’élaboration d’outils intellectuels et opérationnels, à la collecte de témoignages qui peuvent aider à comprendre les mutations du monde du livre et de l’édition ».
Le numéro 1 « Bibliodiversity Indicators » est paru en janvier 2011. L’éditorial est disponible sur le site de la revue : http://www.bibliodiversity.org/.
Un article de Livres Hebdo (France) sur le site internet de l’Alliance Internationale des Éditeurs Indépendants.