Outre les préoccupations inhérentes au monde du livre dans l’acception large du terme (industrie de l’édition, diffusion, traduction et problématique de la faiblesse du lectorat), le 17e Salon international du livre (SILA), qui se tient depuis jeudi dernier à la Safex d’Alger, est censé nous donner une image de la nouvelle littérature algérienne, celle qui est destinée à prendre le relais des précurseurs (Mammeri, Dib, Feraoun, K.Yacine, les Amrouche,…).
Il est vrai que ces derniers, par la qualité de leurs œuvres et par les circonstances particulières de la naissance de leurs textes, exercent un poids écrasant sur la perception que nous avons de la littérature algérienne en général. Un mot suffit sans doute pour résumer cette influence historique : ce sont des classiques de la littérature algérienne (…)
[Lire l’intégralité de l’article de Amar Naït Messaoud publié dans Les Dépêches de Kabylie]
[Le site officiel du SILA 2012]
[Ce billet est également publié sur le portail Web de la revue Africultures]