C’est dans la rue et non plus au rayon librairie que de plus en plus de Zimbabwéens achètent les manuels pour leurs enfants, qui étudient dans des livres piratés, dont la prolifération met à genoux les éditeurs locaux.
Au hit-parade des ouvrages les plus contrefaits, « on trouve les manuels et les livres au programme des examens, ceux qui pour un éditeur au Zimbabwe sont la principale source de revenu », se lamente Shepherd Murevanhema, éditeur chez College Press, filiale d’une des plus vieilles maisons d’édition scolaire, la multinationale d’origine britannique Macmillan, propriété du groupe allemand Holtzbrink (…)
[Lire l’intégralité de l’article de Fanuel Jongwe publié dans Afrique Expansion]
[Ce billet est également publié sur le portail de la revue Africultures]