La lecture publique
– Culture du livre : soutien des initiatives de livre ambulant
– Reconnaissance institutionnelle des bibliothèques « privées »
– Référencement des structures existantes par les collectivités
– Facilitation du don raisonné de la France vers le Cameroun
– Implication d’opérateurs institutionnels ou associatifs en faveur du don du livre
Médiatisation du livre et de la lecture
– Revoir les instances de légitimation du livre qui pourraient contribuer à redonner du prestige au livre : prix qui encouragent l’écriture
– Travailler de façon concertée et unanime à la mise en place d’un salon du livre au Cameroun
– Impliquer les médias télévisés dans la promotion du livre et de la lecture
Le besoin de médiation
– Le besoin de table ronde est récurrent, un travail régulier de concertation est nécessaire pour engager un dialogue entre les institutions et tous les opérateurs culturels. Dans un principe de mutualisation, des réunions de travail régulières seront positives.
– Dans le cadre de la révision de sa politique, la coopération franco-camerounaise pourrait utiliser les espaces des Alliances pour impliquer le plus largement possible les acteurs non étatiques dispersés dans le pays. Des réunions à Yaoundé ou à Douala ne seront jamais représentatives que du microcosme intellectuel des capitales, non du Cameroun dans son ensemble.
Créer des outils efficaces
– Une forme de centrale d’achat pour les bibliothèques comme pour les librairies permettrait au niveau national de minimiser les coûts d’importation d’ouvrages.
– Une utilisation de l’outil Web comme moyen de communication entre les différents opérateurs du livre saura valoriser la diffusion des ouvrages.
– La création d’un annuaire des structures culturelles au Cameroun comme cela a été réalisé au Togo ou au Burkina-Faso facilitera la visibilité des opérateurs camerounais…