D. Laferrière : « Quand on parle de circulation on pense aux pays pauvres, à des jérémiades ! Mais le Québec , la Belgique , etc. C’est des pays riches ! Relativisons ! Et parlons chiffres sérieusement, je vends beaucoup plus au Québec qu’ici.. » pic.twitter.com/hEidwuuvOn
— Étonnants Voyageurs (@FestivalEV) 21 mai 2018
D. Laferrière : « Moi je viens toujours du pays de mon lecteur ! Sur cette question du livre, personne ne peut suppléer à l’energie et la puissance de l’état, il doit prendre le relais, les écrivains ont beaucoup travaillé ces dernières années. Le livre est une affaire publique! pic.twitter.com/lTJfUfWNWg
— Étonnants Voyageurs (@FestivalEV) 21 mai 2018
1- Développer les partenariats entre éditeurs francophones
2- Accompagner la structuration de la filière là où elle est fragile
3- Améliorer la diffusion du libre s’appuyant sur le numérique— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 21 mai 2018
J. Rouaud sur la circulation équitable du livre : « Les auteurs haitiens publiés à Paris ne pouvaient pas être lus à Haïti vu les prix prohibitifs. On vole notre Français pensaient souvent les éditeurs dans un réflexe national. Il faut lâcher nos privilèges, ce sera bénéfique ! »
— Étonnants Voyageurs (@FestivalEV) 21 mai 2018
Alors @FrancoiseNyssen @FestivalEV je vous invite à prendre contact avec l’African Publishers Network, @WIPO, @ADEAnet et @IntPublishers qui ont des feuilles de route de cet ordre depuis déjà plusieurs années. Arrêtons de disperser les énergies #AssisesDuLivreEnFrancais https://t.co/Jsn38iAqiN
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
Mais @Fnac n’est pas le cœur du problème! Pourquoi les grands distributeurs français ne sont ouverts qu’aux grands éditeurs français? Pourquoi @FestivalEV fait la part belle à #Gallimard et #ActesSud ? 1/2
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
2/2 si les centrales de vente ne rendent pas encore justice à la diversité littéraire c’est peut-être parce que les messages qui la revendiquent sont élitistes et sans réalité économique concrète ? Cqfd #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
#DanyLaferière parle de créer de nouveaux héros de la littérature en langue française pour permettre la circulation des œuvres.
Quel rôle pour les médias ? #AssisesDuLivreEnFrancais
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 21 mai 2018
Un compte-rendu des #AssisesDuLivreEnFrancais sera diffusé par @IFParis et @MinistereCC
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 21 mai 2018
Une #francophonie est-elle reinventable si ce sont toujours les mêmes qui y réfléchissent? #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
Orientation des #AssisesDuLivreEnFrancais par Mme @FrancoiseNyssen @MinistereCC la concertation se déclinera en une feuille de route autour de trois enjeux 1/2 :
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 21 mai 2018
2/2 si les centrales de vente ne rendent pas encore justice à la diversité littéraire c’est peut-être parce que les messages qui la revendiquent sont élitistes et sans réalité économique concrète ? Cqfd #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
Mais arrêtons avec ces appellations. Ce sont des mots. Pas des règles économiques. Le marché de langue française est dominé par Paris, francophone ou en français, c’est la même chose #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
Franchement, en lisant ça j’ai l’impression que rien n’a changé depuis 2007 en fait. Le centre continue de se regarder le nombril, sans convoquer les problèmes réels de la diversité éditoriale francophone et toujours dans une logique d’entre-soi… #AssisesDuLivreEnFrancais https://t.co/siFQpg7Rz7
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
Sur le court terme, le capital symbolique est indissociable des lois du marché et c’est bien là le problème… #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
C’est bien là le noeud du problème: pourquoi la France donne-t-elle ? Quelle est sa légitimité? #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
Ne célébrerait-on pas mieux si les programmes scolaires, les prix littéraires, les relais médiatiques étaient plus équitables? #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
Une fois encore avec tout le respect que j’ai pour Rodney Saint Eloi @memoiredencrier mais il y a quelque chose de naïf dans cette poésie des mots. Le marché du livre est centralisé, même si les discours le sont de moins en moins… #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
Et on arrêtera de discuter de la centralité de la France lorsque celle-ci n’aura plus de centralisme économique. Oh wait… #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
Et concrètement quand on mettra les éditeurs du Nord et du Sud au même niveau médiatique #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
La langue française appartient à tous mais sa littérature surtout à l’édition française #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
Et voilà… Le compte n’y est pas. La littérature monde est une belle théorie qui concerne uniquement le marché du livre français. Pas une rampe d’impulsion économique pour les éditeurs du Sud… #AssisesDuLivreEnFrancais @EditionsLaKora @indpuballiance @FestivalEV
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
* se bat pour le maintien de ces garanties qui sont un des rares systèmes de soutien des libraires francophones. Ambigu c’est sûr…
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
Les #CaravanesDuLivre est une action qui a été développée par l’#AILF pour faciliter la diffusion et la distribution des œuvres en #AfriqueFrancophone @raphthierry
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 20 mai 2018
Et donc avec du livre africain grâce à @avognes ! L’AILF doit aussi se battre avec les questions de garanties Coface qui sont le reflet même du néocolonialisme #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Sauf erreur de ma part c’était aussi (surtout) pour apporter des librairies là où il n’y en avait pas dans les régions isolées des centres. cc @avognes
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Question : combien d’éditeurs français sur place par contre ? Cf aussi le bon travail de recherche de Sandy Blaise sur l’édition haïtienne
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
Visionnaire c’est clair au niveau intellectuel. Classique sur le schéma Nord Sud. Désolé de le dire, en dépit de tout le respect que j’ai pour Rodney Saint Eloi ou Nathalie Carré… @memoiredencrier @EditionsZulma #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Et donc je repose ma question @EditionsZulma @memoiredencrier: pourquoi ne pas avoir mis un éditeur sénégalais dans la boucle (@Amalion par exemple) qui aurait facilité la commercialisation des ouvrages de Césaire, Le Clezio… ? #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Un spécialiste issu d’une formation de l’@OIFfrancophonie à @aespua n’est ce pas ? #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Questions du public : Accès aux outils numériques ? Accès ouvert à internet ? Taux de bancarisation ? Quid de la mise en place de standard pour faciliter les échanges ?
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 20 mai 2018
La finalité et l’axe de développement de #Uscribe c’est le développement dans l’espace francophone. Près de 35% des utilisateurs proviennent des pays d’Afrique francophone sur près de 100k utilisateurs abonnés
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 20 mai 2018
Mais par pitié ne créez pas un nouveau monopole numérique français en Afrique @YouScribe_fr ! Faites des partenariats en Côte d’Ivoire, au Sénégal… #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
De quelle géographie parle-t-on ici ? Du Nord ? Du Sud ? Et que faites vous des plateformes de vente de livre en ligne qui se développent partout en Afrique? Cc @EditionsNENA #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
@YouScribe_fr si vous faites aux opérateurs locaux ce qu’Amazon fait ailleurs, changez vous quelque chose ? Ne mélangeons nous pas ici marché du livre et accès à la lecture? #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Il faut par contre se prémunir des logiques monopolistiques d’acteurs tels que @AmazonFR sur ce segment de marché. L’offre est est à formaliser et structurer. #AssisesDuLivreEnFrancais
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 20 mai 2018
En même temps si on parle de librairies en Afrique francophone je ne crois pas qu’Amazon soit le principal danger pour le moment. Si ? What about @BookwittyFR? #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Dans quelle mesure ces formations ne renforcent pas aussi l’achat d’ouvrages français ? #Electre #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
#AILF et le @LeCNL travaillent ensemble pour la formation des libraires francophones à l’étranger. L’absence de formation est désarmant dans les rapports avec des acteurs du nord notamment. #AssisesDuLivreEnFrancais @raphthierry
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 20 mai 2018
Les #CaravanesDuLivre est une action qui a été développée par l’#AILF pour faciliter la diffusion et la distribution des œuvres en #AfriqueFrancophone @raphthierry
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 20 mai 2018
Sauf erreur de ma part c’était aussi (surtout) pour apporter des librairies là où il n’y en avait pas dans les régions isolées des centres. cc @avognes
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Les #CaravanesDuLivre est une action qui a été développée par l’#AILF pour faciliter la diffusion et la distribution des œuvres en #AfriqueFrancophone @raphthierry
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 20 mai 2018
Les #CaravanesDuLivre est une action qui a été développée par l’#AILF pour faciliter la diffusion et la distribution des œuvres en #AfriqueFrancophone @raphthierry
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 20 mai 2018
Rien à dire. Je suis d’accord c’est tout. @AgLPierreastier @iKontinental
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Laure Leroy @EditionsZulma lève la question du prix du livre aux DOM-TOM ? Pourquoi est-ce si cher ? Si c’est la république la population doit bénéficier des droits associés à la politique du libre française. @MinistereCC #AssisesDuLivreEnFrancais @FestivalEV @raphthierry
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 20 mai 2018
Et éditer en Wolof, sans éditeur sénégalais… Je cherche la petite bête… Cc @memoiredencrier #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Je parlais de maison d’édition sénégalaise : on s’est compris ! 😉
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 21 mai 2018
Well done @EditionsZulma. Mais pourquoi ne pas coéditer aussi Ceytu avec un éditeur sénégalais? @Amalion par exemple ? #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Ok @Ed_Flammarion. Pourquoi ne pas coéditer avec ces derniers dans ce cas ? #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Les éditions #VentsDesIles accompagnent la résonance des voix qui viennent d’ailleurs, pour réconcilier des histoires communes #ChristianRobert #AssisesDuLivreEnFrancais @raphthierry
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 20 mai 2018
En tant qu’éditeur indépendant il est difficile de se faire une place à des grands festivals comme @FestivalEV où les tickets d’entrée commencent à 4000€. Quand on ajoute la venue des auteurs depuis Tahiti c’est infaisable. @raphthierry
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 20 mai 2018
Ou alors comment faire pour que les petits distributeurs aient davantage voix au chapitre? #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
C’est reparti grâce à la magie des @EditionsLaKora. La question: va-t-on parler des difficultés ou bien des projets qui existent et des relations éditeurs/libraires francophones? #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Mais où sont @loiseauindigo et @BookwittyFR qui avaient pourtant pris part à @FestivalEV ?
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
#ChristianRobert des éditions #VentsDesIles éditeur à Tahiti parle du militantisme des éditeurs et partage son expérience. Par exemple dans le pacifique il y a 700k francophones contre 40M d’anglophones. Ici le combat c’est de maintenir un lectorat. @raphthierry
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 20 mai 2018
Il y a trois librairies dans la capitale d’Haïti. Ces dernières sont en difficulté car certaines #ONG croyant bien faire injectent des livres en « cadeau » ce qui tire le marché local. Les éditeurs français continuent de faire des livres dont le prix est inadapté au marché local.
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 20 mai 2018
Et en langues africaines #AssisesDuLivreEnFrancais
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Grosso modo, je vois là des acteurs crédibles mais hélas toujours les mêmes qu’à Paris, Genève, Bologne, Francfort, Montreuil… Il y a une autre diversité!
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Il faudrait peut-être que les coéditions de @indpuballiance puissent être commercialisées sans restriction géographique et que les cessions fonctionnent aussi vers les autres marchés linguistiques, non ? Cc @memoiredencrier
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
En reduisant la proportion d’éditeurs français dans les programmes scolaires maliens ?
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 19 mai 2018
Résidence et agentivité ! #Agency
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Mais oui, l’effervescente existe. Arrêtons de faire comme si elle n’existait pas et à se focaliser uniquement sur les difficultés des éditeurs!
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
Tout n’est pas à faire. Tout existe déjà. Tout est à mieux connaître. A respecter davantage
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 19 mai 2018
Il existe une violence et un mépris des instituons, dans l’imaginaire dominant à l’égard des autres langues, particulièrement africaines. #AssisesDuLivreEnFrancais
— Editions La Kora (@EditionsLaKora) 19 mai 2018
Un message lamentable
— Raphaël Thierry (@raphthierry) 20 mai 2018