L’édition électronique peine à décoller en Algérie. Encore naissante, même si les premières expériences datent de plusieurs années, elle trouve difficilement sa place parmi les formes de diffusion du savoir, lorsqu’elle n’est pas menacée par le piratage. Rencontré en marge du 17e Salon international du livre d’Alger (SILA), Amar Aribi, président de l’Association nationale des éditeurs numérique (ANEN) nous en dit davantage (…)
[Lire l’intégralité de l’article d’Abdelkader Zahar publié dans Maghreb Émergent]
[Ce billet est également publié sur le portail de la revue Africultures]