Ben Okri et Ellah Allfrey présideront le 13ème Caine Prize for African Writing

28/04/2012 : « Okri made Caine Prize vice-president »

Le vice-président du 13ème « Caine Prize for African Writing » (site Web en lien) est désormais connu. L’écrivain nigérian Ben Okri, Booker Prize 1991, a été désigné le 26 avril dernier par les organisateurs de ce prix littéraire créé en 2000. Le Caine Prize récompense chaque année lameilleure nouvelle originale d’un écrivain africain (résidant en Afrique ou ailleurs) en langue anglaise.

L’éditrice zimbabwéenne Ellah Allfrey (directeur des éditions Granta), le secondera dans sa fonction de vice-président.

Le président du comité 2012, Jonathan Taylor s’est exprimé : « Je souhaite une très chaleureuse bienvenue aux deux nouveaux membres. Ben fait partie du prix depuis les débuts de l’aventure et il a été associé aux délibérations annuelles depuis 13 ans ; il fait partie des géants de la littérature africaine. Ellah, de par son exceptionnel implication dans l’édition et la production littéraire, saura, je n’en doute pas, apporter une nouvelle dimension internationale à notre prix littéraire ».

B. Okri, qui siège déjà au conseil consultatif du prix,  a décrit son rôle comme « une merveilleuse opportunité de contribuer à l’enrichissement de la littérature ».

Allfrey, également membre du bureau et commissaire du prix, s’est pour sa part exprimée en ces termes : « Tout prix qui récompense un auteur pour la qualité de son écriture et met en évidence l’existence d’une vie littéraire est, selon moi, une chose très importante. Je suis très heureuse de faire partie du Caine Prize qui contribue à faire connaitre ces nouvelles au monde entier ».

Le liste des ouvrages sélectionnés pour le Caine Prize 2012 a été annoncée le 1er mai (hier).

Le lauréat du prix recevra une récompense de 10 000 livres sterling à la fin de la cérémonie qui se tiendra à la bibliothèque Bodleian d’Oxford, lundi 2 juillet prochain.

D’après un billet de Katie Allen publié sur le portail Web The Bookseller « News about the book business » (en lien).

Ce billet est également publié sur le portail Web de la revue Africultures (en lien).

 

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